T H E . S I N S . A R O S E . V E R T U E S
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul

Aller en bas 
AuteurMessage
Asmodée T. Epheridge
Admin
Asmodée T. Epheridge


Nombre de messages : 106
What\'s your sin or vertue ? : LUST
Date d'inscription : 12/12/2008

ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul Empty
MessageSujet: ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul   ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul EmptyVen 20 Fév - 13:17

ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul Ashley-greene-8--a2af1f
(c) Flightless.Bird
    ASMODEE TENDRIA
    EPHERIGE

    461 ans réellement ; 21 ans physiquement

    informations.
    démonne la plus respectée des enfers; bras droit du maître des enfers.
    ancienne succube; dotée du péché de luxure;
    elle est également l'une des sept "chefs"



    Pouvoirs
    — incitation à la luxure
    — ressurgir les plus grandes peurs chez les humains
    — possibilité de voir l'avenir de façon 'floue'






Dernière édition par Asmodée T. Epheridge le Sam 21 Fév - 14:04, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://sinsarosevertues.forumactif.org
Asmodée T. Epheridge
Admin
Asmodée T. Epheridge


Nombre de messages : 106
What\'s your sin or vertue ? : LUST
Date d'inscription : 12/12/2008

ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul Empty
MessageSujet: Re: ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul   ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul EmptyVen 20 Fév - 13:27

Les yeux de la luxure ont des joies secrètes.


    On tambourinait avec violence à la minuscule porte de notre minuscule maison. Une voix rauque, masculine, demandait à voir Mr Epheridge. Ma mère s'était réveillée en sursaut et avait demandé à mon père de s'habiller. Qu'allaient donc penser les voisins; ce n'était pas raisonnable qu'on vienne ainsi déranger un gentilhomme tel que son mari en pleine nuit. Elle m'avait également demandée de couvrir mon corps d'un épais peignoir puis nous nous étions toutes deux dirigées vers la porte, cachées derrière l'imposante musculature de mon père. Ce dernier ouvrit la porte, découvrant deux représentants de l'ordre. Il retirèrent leur coiffe, s'inclinèrent devant mon père avant de jeter un coup d'œil par dessus son épaule. Leurs prunelles sombres se posèrent sur moi et un rictus naquit sur le visage du plus jeune des deux. Je frissonnais et reculais d'un pas. Mon père, qui avait suivit leur regard, se tourna vers eux, désappointé. Ma mère passa ses bras autour de mes épaules, je me dégageais de son étreinte.

    MR EPHERIDGE : Que se passe-t-il messieurs pour que vous veniez nous déranger, ma femme, ma fille et moi, en pleine nuit ?
    POLICIER 1 : Monsieur, votre fille ..
    POLICIER 2 : Votre fille est accusée d'hérésie; nous avons ordre de l'emmener au Prêtre Fitzpatrick, monsieur.

    Ma mère poussa un hurlement à réveiller les morts. Les deux policiers s'avancèrent alors que mon père leur laissait le champ libre. Abattu par la nouvelle, il s'était laissé aller contre le chambranle de notre porte d'entrée. Ma mère hurlait au mensonge, à l'invention tandis qu'elle faisait barrage entre moi et les deux policiers venus me chercher. Soudain, j'éclatais de rire, comme prise de folie. Mon père posa ses prunelles chocolat sur moi, hébété. Je repoussais gentiment ma mère, un sourire barrant mon visage diaphane. Mes cheveux était emmêlés et mon peignoir, qui s'était ouvert, laissait entrevoir les courbes généreuses de mon corps. Voilà ce qu'ils considérait comme de la sorcellerie. Ils pensaient que j'envoutais les hommes, les attirais dans mes draps et leur insufflais le péché le plus grave de tous; la luxure. Femme de nuit, femme de joie, sorcière. C'était idée me fit sourire de plus belle. J'avais goûté à des plaisirs qu'ils ne connaitraient sans doute jamais; ces pauvres vertueux. Ma mère me saisit les poignets alors que je les tendais aux policiers.

    MME EPHERIDGE : Asmodée; mon Dieu, tu es folle ! Charles, aide-moi, ne les laisse pas emmener notre enfant !

    Mon père s'approcha de moi, ancra ses prunelles dans les miennes. Je soutins son regard avec fierté. Ma mère refusait peut-être de voir la vérité, mais mon père n'était pas aveugle, et il savait pertinemment ce que je faisais de mes soirées. Je n'avais jamais été lâche; j'avais hérité ça de lui. J'affronterai ma peine avec fierté. Je n'avais pas peur, rien de ce que j'avais pu faire n'avait été mal; je n'avais blessé personne. Au contraire, je leur avait fait connaitre un plaisir autrefois inconnu. Mon père posa ses mains sur les poignets de ma mère et la força à lâcher les miens. Elle fondit en larmes; cachant son visage dans la chaleur des bras de mon père.

    POLICIER 1 : Mlle Epheridge ..

    Il voulut me saisir par le bras; j'échappais à son étreinte. Je plongeais mes iris dans les siens.

    ASMODEE : Je peux marcher seule.

    Derrière moi, ma mère continuait de sangloter. Je ne me retournais pas et montais dans la carriole. J'avais vu tellement de prétendues sorcières se diriger vers le bûcher dans cette dite carriole; je ne pus réprimer un frisson. Les policier fouettèrent les chevaux et nous partîmes en pleine nuit. De nombreuses portes s'ouvrirent alors que nous nous dirigions vers la prison. Résonnaient encore les pleurs de ma mère.



    Il faisait beau, les rayons du soleil pénétraient dans ma petite cellule. Je m'aggripais aux barreaux et tentais de voir ce qui se passait à l'extérieur. Ils étaient en train de monter le bûcher et une foule dense s'était déjà amassée sur le grande place. Les badaux, c'était pour eux un réel spectacle de voir d'immenses flammes lécher avec avidité les corps encore vivants de jeunes filles et jeunes hommes qui avaient toujours refusé de vivre selon leurs règles. Je laissais s'échapper un soupir, derrière moi on ouvrait la porte. Je descendais de la botte de paille qui m'avait servie d'appui et m'avançait vers le policier.

    POLICIER : C'est l'heure.

    Je ne le regardais pas et passais la porte. Nous marchâmes longuement dans les couloirs de la prison. Nombreux prisonniers me criaient d'avoir du courage. Je ne comptais pas hurler, ou même implorer le ciel de me laisser vivre. Non. Je ne leur ferais pas ce cadeau. J'en avais vu beaucoup, j'en avais entendu hurler, implorer le pardon du Seigneur, pleurer avant qu'on n'allume le feu qui était venu lentement consumer toute leur chair. Nous sortîmes de la prison, l'éclat du soleil me força à plisser les yeux. Les rayons chauffaient ma peau qui n'était recouverte que d'une légère toge blanche. Le policier voulu m'aider à monter sur l'estrade, je le repoussais et grimpais les marche la tête haute. Je me plaçais de moi-même contre l'immense poteau de bois. Le bourreau vint me lier les mains. Devant moi, la foule s'agitait, hurlant des insanités m'étant destinées. Je regardais au loin, le prêtre s'approcha de moi et se tourna vers la foule.

    PRETRE FITZPATRICK : Voilà la sorcière qui a envoûté vos maris, vos fils, vos neveux. Voilà celle qui toutes les nuits s'infiltrait avec fourberie dans vos demeures pour vous prendre vos hommes. Elle semble innocente, faible, mais ce n'est qu'un masque. A l'intérieur se cache le diable, le mal en personne. Ne vous fiez pas à son apparence, elle est le péché incarné. Brûlons-là ! hurla-t-il en me regardant.

    Il s'approcha de moi, je lui crachais au visage. Il se recula, hébété et fit signe au bourreau d'allumer la paille à mes pieds. Le feu se propgea rapidement et enflamma bientôt toute la paille. Devant moi, la foule ressemblait à une troupe d'animaux, leurs visages déformés par une haine bestiale, excités devant le spectacle de torche vivante que je leur offrais. Les flammes vinrent bientôt lécher mes pieds, je serrais les dents. La douleur était insoutenable. Je brûlais, les flammes se propagèrent jusqu'à mes jambes et je me mordais les lèvres. Je refusais d'hurler, je ne voulais leur donner ce plaisir. La fumée me faisait tourner la tête, mais je ne voulais pas m'évanouir, je voulais soutenir leurs regards jusqu'à la fin. Eux qui se disaient vertueux et qui se déléctaient de la souffrance des autres. Je voulais qu'ils lisent dans mes yeux leurs propres vérités. Des cloques apparaissaient sur chaque parcelle de mon corps, j'étouffais, il faisait un telle chaleur, c'était infernal. Etrangement, les bruits s'éstompèrent. Etait-ce parce-que je perdais connaissance ? Devant moi la foule s'était calmée et me regardait avec attention. Je me sentais partir, je brûlais, de l'intérieur. Les flammes léchaient avidemment chaque parcelle de mon corps. J'allais mourir. Avec le peu de force qu'il me restait, je relevais la tête et fixais la foule avant de leur sourire. Soudain, tout fut noir, je n'entendis plus aucun bruit, seulement celui des flammes qui continuaient de consumer mon corps. Puis plus rien du tout.


    MALPHAS : Bienvenue parms nous.

    Une voix mielleuse, une odeur de brûlé et une chaleur étrangement fraîche. J'ouvrais les yeux lentement et la première chose que je vis fus le visage d'un homme. Un étrange sourire barrait son visage. Il se recula et me tendit une main que je saisis. Il m'aida à me relever, je titubais légèrement. Mon regard parcourut la salle dans laquelle je me trouvais. Les murs étaient faits de pierres non taillées, et au loin j'entendais le bruit de flammes. Ca sentais également le brûlé. C'est alors que je lâchais la main de l'homme qui me faisait face et tâtais mon corps entier. Je n'avais pas une seule trace de brûlure, rien. Ma peau était en parfaite état, peut-être même plus lisse qu'avant, plus blanche. Je relevais la tête et enfonçais mes iris dans celles, couleur or, de l'inconnu.

    ASMODEE : Où suis-je ?
    MALPHAS : En enfer ma toute belle. Mourir brûlée, quelle mort atroce. sussura-til en ricanant.

    Je fronçais les sourcils et déambulait dans la petite pièce dans laquelle je me trouvais. En enfer. C'était une blague .. Non. Comment aurais-je pû survivre au bûcher ? Les flammes étaient bien trop réelles pour que cela ai pu être un rêve. Je m'approchais de l'inconnu.

    ASMODEE : Quel est ton nom ? Qui es-tu ?
    MALPHAS : Malphas Alastor Fergusson; maître des enfers. Tu es dans mon antre. Tu as péché durant toute ta vie; et quel joli péché tu as choisi; j'attendais ta venue avec impatience Asmodée Tendria Epheridge. Viens, suis-moi.

    Il aggripa ma main et m'entraina dans les dédales des .. enfers. Je du me faire à cette idée.
Revenir en haut Aller en bas
https://sinsarosevertues.forumactif.org
 
ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - damned soul
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» ASMODEE TENDRIA EPHERIDGE - desirable demon

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
T H E . S I N S . A R O S E . V E R T U E S :: YOU'RE HERE, FOR THE WORST :: LET ME LOOK THROUGH YOU :: Welcome in Hell-
Sauter vers: