Athénèsiya U. Calliopé
Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 14/03/2009
 | | Sujet: Athénèsiya •• Derrière ce sourire angélique Sam 14 Mar - 22:58 | |
|  « PARTIE DE PLAISIR. Nuit d'insomnie et terrain de jeu en solitaire embrases robes POIDS PLUMES et mousseline transparantes. Une extase estivale sur le court, sous les yeux de la LUNE »
 
(c) Black Burning Heart
|
Athénèsiya Ulysse Calliopé313 ans réellement ; 25 ans physiquement « Je lui aurai volontiié pardonné son orgueil si il n’avait pas blessé le mien. »informations.- Elle à vécu son enfance en ce faisant passé pour son frère (d'où son deuxième prénom "Ulysse") - Elle méprise au plus profond de son âme les autres personnes - Elle joue différents "rôles" pour arriver à ses fins La jeune fille a perdu de vue sa mère alors qu'elle n'avait que sept ans, celle-ci à envoyé sa fille chez le père de son décédé demi-frère, en faisant passer la jeune fille pour le garçon car elle n'arrivait plus à subvenir aux besoins de sa fille. Athénèsiya à donc passé le reste de son enfance avec les marins, jouant une personne qu'elle n'était pas. Les hommes avec qui elle à grandit n'étaient pas des plus sofistiqués, elle avait déja hérité d'un grand orgueil mais son voyage avec eux à renforcé son caractère indépendant et directif. La jeune fille ne supporte pas que quelqu'un lui donne des ordres et surtout pas un homme, elle à un réel dégout et un mépris croissant envers les autres personnes et ne se verra jamais dépendante de quelqu'un d'autre. C'est une forte tête et n'à toujours su conter que sur elle-même. Pendant toute ses longues années ou elle à du jouer l'homme, la jeune fille avait perdu tout coté féminn, c'est à son entrée aux enfer que son côté femme est ressortit plus qu'à n'importe quel moment. C'est également à ce moment précis qu'elle à réussit à jouer de ses charmes, ce qui à renforcer son caractère manipulateur. Aujourd'hui Athénèsiya sait jouer n'importe quel rôle pour subvenir à ses fins, mais ne se salira ou ne se rabaissera jamais au même niveau que les des autres. Péché — L'orgueil Il s'agit d'une opinion très avantageuse, le plus souvent exagérée, qu'on a de sa valeur personnelle aux dépens de la considération due à autrui, à la différence de la fierté qui n'a nul besoin de se mesurer à l'autre ni de le rabaisser. Manque ou absence d'humilité. Parmi les péchés capitaux, l'orgueil est le plus capital, ou si l'on veut, le plus fondamental. Les Pères de l'Église voient dans l'orgueil l'origine de tout péché, la racine de tout mal. Pouvoirs— Manipulation mentale Athénèsiya a la capacité de manipuler la mémoire des humains, et également de manipuler leur envie et leur caractère. La jeune fille avait déjà un dont inexplicable pour la manipulation étant mortel, le dieu des enfers n'a fait qu'intnsifier ce dons, qui est aujourd'ui devenu un de ses pouvoirs. — Attaque mentale Pour accompagnée son premier pouvoir, le maître des enfers à transmit à Athénèsiya la capacité d'attaquer un humain simplement par la pensée. Elle est capable d'infliger une douleurs mentale si forte que la personne pourrait tomber dans un coma profond. HRPGprénom/pseudonyme : juna age : 15 ans avis sur le forum : enorme coup de coeur  où l'avez-vous connu ? : par un partenariat
|
Dernière édition par Athénèsiya U. Calliopé le Dim 15 Mar - 15:03, édité 26 fois | |
|
Athénèsiya U. Calliopé
Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 14/03/2009
| | Sujet: Re: Athénèsiya •• Derrière ce sourire angélique Sam 14 Mar - 22:58 | |
| Chapitre un« Un bout d’âme pour un avenir »  (c) neurdecone LJ
C’était à une de ces époques où la piraterie était crainte, ou les hommes dominaient les femmes, et là ou le sexe féminin n’était qu’un objet de convoitise. La nuit avait pris possession de Londres déjà depuis quelques heures, les rues n’étaient plus éclairée que par la lueur de la pleine lune, mais entre deux ruelles qui menaient tout droit au port de la ville, deux silhouettes ondulaient dans l’obscurité pour s‘arrêter quelques mètres plus loin. Opale regarda les yeux bleus de sa fille pour la dernière fois, puis déposa un baiser sur son front, c’était la seule personne qui pouvait avoir un contacte aussi proche avec la petite sans que celle-ci ne se débatte. La femme dégagea les petits cheveux du front de sa fille et les fourra dans la petite béret en coton qui dissimulait la queue de cheval de celle-ci. Athénèsiya était enfin prête pour quitter sa mère, elle portait sur elle des vêtements qui avaient autrefois appartenu à son frère aujourd’hui décédé. Habillée et apprêté comme elle l’était, on pouvait à peine voir les traits féminin de la petite. Elle savait qu’à partir de cette instant, elle allait garder l’apparence de son frère pendant un long moment. La petite fille qui avait à peine sept ans, aperçu à la lueur de la lune, une larme briller sur la joue de sa mère. Elle devait résister et ne pas pleurer, après tout elle était assez forte pour ça, et bien trop fière. La petite releva la tête, sourit à sa mère, et se dégagea délicatement de son emprise, ce qui fit comprendre à celle-ci qu’il était temps de dire adieu à son enfant. Sans un mot, les bras d’Opale se détachèrent du corps frêle de l’enfant et elle vit celle-ci s’éloigner d’elle pour le reste de ses jours, une déchirure se fendit dans l’âme de la mère, elle savait à partir de cette instant qu’elle n’en avait plus pour bien longtemps.
- Citation :
Opale « Athénya écoute moi. Nous allons jouer à un jeu… Un jeu qui devra à jamais rester secret. D’accord? »
Opale aperçu dans les yeux de son enfant, une lueur d’amusement, une soif irrésistible de gagner. La jeune femme connaissait sa fille comme personne, elle savait que c’était la seule personne qui avait de l’influence sur ce petit être. Elle ne connaissait pas le père de son enfant, ou tout du moins elle ne le connaissait plus, mais savait comme une évidence que le caractère orgueilleux de son enfant venait de lui. La jeune femme creusé par la fatigue et la souffrance portait dans son regard, une lueur de sagesse. Elle avait eu mal, mal de voir son être se déchirer en deux à la mort de son premier fils Ulysse, qui avait succombé à la fièvre lors d’un rude hiver anglais. Cette solution, ou ce jeu pour l’enfant était le seul moyen de faire vivre sa fille, mais il fallait la quitter, et subir un second déchirement, cependant, elle était prête. Ce qu’elle ne savait pas, c’était que cette solution, allait mener la petite tout droit vers la mort et la barbarie. Elle ravala les larmes qui menaçaient de couler et prit petit corps de l’enfant entre ses mains et poursuivit.
Opale « Tu va devoir devenir Ulysse mon ange, pour le bien de ta survie. Demain, nous allons rassembler tes affaires et tu va me quitter. Ne pleure pas…Tu va voir tu va t’amuser…C’est pour toi que je fais ça. Je vais t’amener chez ton futur papa, mais il ne doit pas savoir qui tu es réellement, tu dois être Ulysse tu m’as bien comprise? » Athénèsiya fit un mouvement de tête qui cachèrent ses sanglots, elle ne voulait pas quitter cet être qui était le plus important à sa vie, et pourtant, la certitude qu’elle devait faire se que sa mère disait était plus forte que tout. Du haut de ses sept ans, la petite n’était déjà plus une enfant, elle se battait avec sa mère pour sa survie, et n’avait rarement connu les joies de l’enfance. La petite allait être propulsée dans le monde des adultes bien trop tôt, mais c’était ainsi. Il faisait un froid glacial mais la peau de la petite y était habituée, dans sa tête se mêlaient des pensées les plus perverses les unes des autres; ses craintes. Elle partit en direction du port, un drap refermer par un nœud sur ses affaires et une lettre à la main, une lettre qui allait tracé son destin. Elle avait la tête haute, les dents serrées et le regard haineux, mais le visage de sa mère qu’elle gardait au plus profond de sa mémoire faisaient couler des larmes sur sa joue. Le bruit de ses poings contre la porte en bois délimita le moment ou sa vie allait changer, ou son être allait basculer. Il ne fallut que quelques minutes d’attente avant qu’un homme apparaisse entre le chambranle de la porte avec un regard interrogateur. C’est à ce moment précis, alors que sa voix annonçait qui elle était, ou plutôt qui elle était devenue, qu’elle allait connaître l’enfer sur terre. Athénésiya « Bonsoir, je me prénomme Ulysse. Je suis votre fils. » Et elle tendit à son futur père une enveloppe cachetée qui contenait la lettre de sa mère. Une lettre qu'elle avait soigneusement écrit, celle qui allait délimité l'avenir prometeur, qu'elle croyait, de sa tendre fille. Chapitre deux« Je lui aurai volontier pardonné son orgueil si il n'avait pas blessé le mien »  (c) neurdecone LJ
La Perle déposa les ancres sous un soleil de plomb, l’hiver avait été rude mais il avait été profitant. Athénésiya, qui se faisait aujourd’hui connaître sous le nom d’Ulysse et sous l’apparence masculine, ouvrit les yeux et regarda une dernière fois la mer à l’horizon. L’équipage devait faire une escale, et se redonner des forces, ils avaient descendu l’encre pour quelques mois. Ses cheveux ondulés, et attachés en une queue basse volaient au rythme lent du vent, les rayons du soleil faisaient apparaître sur son visage doré de minuscule taches de rousseur en dessous de ses yeux bleu océan. Cela faisait déjà 8 années que la jeune fille connaissait les joies de la marine, elle avait été ajouté à l’équipage sous les contestations de certains marins, voyant son caractère indépendant et peu sociable. Elle avait aujourd’hui 17 ans et elle avait de plus en plus de mal à cacher ses formes féminines. Alors que la jeune fille profitait de l’air de la mer une dernière fois, une voix familière résonna dans son dos.
Nolhan « Alors Ulysse, que va tu faire maintenant que tu es sur la terre ferme? Profiter de tes instants seul avec toi-même peut-être? Attention tu risques de tomber de haut quand tu va enfin comprendre à quel niveau tu es vraiment. »
Sous la plaisanterie de Nolhan, des rires amusés se firent entendre. Athénya se retourna doucement et planta ses yeux bleu dans ceux de Nolhan, celui-ci pu distinguer clairement un profond mépris dans le regard de Athénya. Le jeune garçon, qui était âgé d’un an de plus que la surnommée Ulysse, était déjà à bord de la Perle à son arrivée, La jeune fille avait toujours éprouvé du mépris envers ce garçon, comme envers beaucoup de monde, mais lui c’était différent. Aujourd’hui elle éprouvait une étrange sensations à son égard, elle ne pouvait s’empêcher de le mépriser au plus profond de son être mais elle avait besoin de lui. Cependant, jamais elle ne pouvait avouer un tel besoin, ils se contentaient donc de se chercher l’un l’autre et de se blesser mutuellement. Athénya sourit légèrement à ses paroles et jeta un coup d’œil vers les camarades de Nolhan, ceux-ci, à la vue du regard de dégoût et de haine que jeta la jeune fille, cessèrent tout bruits et se rassemblèrent presque contre leurs gré. A la vue de cette scène minable elle eut un deuxième sourire, mais celui-ci de satisfaction et retourna alors son regard sur Nolhan.
Athénèsiya « C’est fou ce que tu peu être médiocre quand tu essayes d’impressionner tes petits camarades. Tu veux que je te donne une leçon peut-être? A mais non j’avais oublié… C’est grâce à de personnes aussi lamentables que toi que je préfère ma présence à la votre. »
Sur ce, la jeune fille, qui n’était autre qu’un adolescent comme Nolhan et ses camarades aux yeux de ceux-ci, tourna les talons et s’engouffra dans la foule Londonienne. Être à bord d’un bateau était se qu’elle aimait le plus au monde, quand elle n’avait pas ce contacte avec l’océan et que ses pieds touchaient la terre ferme c’était comme si elle avait perdu le sens de l’équilibre, comme si un manque profond demeurait dans son âme. Être sur la terre ferme était une chose qui l’a rendait plus ronchonne que l’ordinaire. Londres était une ville active et bondé, la jeune fille avait horreur du contacte avec les personnes, quand elle devait se mêler avec la foule, elle éprouvait en elle un dégoût hors du commun envers ses êtres qu’elle disait répugnants. Elle ne pouvait éprouver que du mépris envers ses personnes qui se frottaient l’une à l’autre pour satisfaire leur simple pulsion, ils se mélangeaient entre eux comme des barbares, comme des animaux sauvages. C’était également pour une de ses raisons que Athénésiya ne prenait pas partie au rassemblement de l’équipage, car il ne parlait que de satisfaire leurs envies sexuelles et bien entendu sans retenue, pour eux, les femmes n‘étaient qu‘un objet de sexe, d‘envie. Pour elle, le sexe n’était que débauche et perversité. Son mépris envers les hommes devenait de plus en plus croissants alors qu’elle grandissait, elle voulait les faire souffrir comme personne.
La jeune fille se dirigea vers les ruelles les plus calmes de Londres, la ville commençait lentement à être plongée dans l’obscurité et elle entendait son ventre crier famine. Athénèsiya tourna à l’angle de la rue pour se retrouver en face d’une petite taverne, on entendait d’un bruit étouffé la musique qui battait à son plein; les marins l’avaient sûrement devancée et étaient déjà entrain de profiter de leur retour dans la ville. Quand elle poussa la porte en bois, ses pensées se confirmèrent et elle aperçu dans le coin de la salle, l’équipage installé à une table, chantant et remuant leur choppe de bière. La jeune fille leva les yeux aux ciel et l’odeur de l’alcool atteignit ses narines, elle se précipita vers l’escalier du fond qui accédait aux chambres, sous les appels des marins qu’elle ignora. Bien entendu, elle avait déjà réservé une chambre avant sa venue, s’évitant ainsi de devoir attendre dans le bruits des hommes saouls, et de l’odeur de l’alcool formait un mélange qui n'était guère des plus appétissant. Quand elle entra dans la petite chambre ou un lit et un bureau était les seules meubles de la pièce, elle constata qu’un serviteur avait déjà pris soin de ranger ses affaires. La jeune fille soupira et laissa tomber son corps contre le lit dur, détacha ses cheveux, déboutonna sa chemise et déroula la bande qui serrait étroitement sa poitrine, quand elle fut délivrée de son emprise, elle put respirée profondément. Un bien être la submergea aussitôt, celui de retrouver son corps de femme, de se retrouver elle-même. Alors que la jeune fille passait sa brosse dans ses cheveux, la porte de la chambre s’ouvrit et Nolhan apparut dans la pièce, Athénèsiya eut tout juste le temps de cacher sa poitrine avec le drap mais c’était trop tard, le jeune homme la fixa d’un regard ébahis, la bouche ouverte, comme pour dire quelque chose qui ne pouvait franchir sa bouche. Ils se regardèrent un longt moment, qui parut être une éternité pour la jeune fille, aucun son ne sortait de leurs bouches et pourtant, leurs pensées fusionnaient.
Athénèsiya « Bon dieu, on ne t’a jamais apprit à frapper aux portes ?! Va t’en d’ici! »
La jeune fille se mit dans une colère noire, sa seule envie à ce moment précis fut d’égorger le jeune garçon; à cause de lui, et de son manque de respect, tout ses rêves allaient s’envoler, et son avenir avec. Mais le jeune homme ne savait pas bouger, il était comme pétrifié à la vue de cette dure réalité qui s’abattait sur lui comme une évidence, toutes ses choses qui s’expliquèrent alors en une fraction de seconde se persécutèrent dans sa tête. La jeune fille enfila sa chemise blanche en une fraction de seconde, se leva et se planta devant le jeune homme. Elle n’avait même plus besoin de parler, ses yeux parlaient à sa place, elle voyait sur le visage du jeune homme, une grimace d’horreur se dessiner lentement. Il ouvrit la bouche hésita un instant puis balbutia si doucement que Athénya du tendre l’oreille pour percevoir le son de sa voix.
Nohlan « Je…Je ne dirais..rien. »
Athénèsiya « Si tu oses prononcer un seul mot de cette histoire, ou même insinuer quelque chose, je peut te jurer que ce sera la dernière chose que tu aura faite de ta vie! »
Les yeux de la jeune fille paraissaient tellement féroces que le jeune homme baissa les yeux et se jura en lui-même qu’il n’oserai pas prendre le risque. La jeune fille parut satisfaite mais ne lâcha pas son expression de féline prête à attaquer. Elle jeta alors un coup d’œil vers la porte et constata que celle-ci était resté ouverte, en un mouvement qui dura une fraction de seconde et qui fut sursauter le jeune homme, elle ferma la porte d’un coup sec.
Nolhan « Tu peux me faire confiance… »
Dernière édition par Athénèsiya U. Calliopé le Lun 16 Mar - 21:32, édité 26 fois | |
|
magnifique!
